Idée isolation

seb14 a écrit:

petrole59 a écrit:

Tu te permets de dire qu'en Normandie on laisse le plateau ouvert . tu es sur que tous les apiculteurs normands laissent leurs plateaux ouverts ?
j 'en connais beaucoup et oui ils laissent ouvert


On peut d'ailleurs s'apercevoir que les abeilles hivernent très bien en ruchette polystyrène qui n'a pas de plancher ouvert et ce quelles que soient les régions .mes miniplus on un plancher ouvert

On dit que les abeilles ne craignent pas le froid , Demande à Sauvapic ce qui se passe quand il n'isole pas ses ruches .sauvipic est dans une region froide ,rien a voir avec le france,et il a une aération par le haut

Je t'ai copié pour te montrer que tu es désobligeant et tu n'argumentes pas tes dires .

je vois que tu n'apprécie pas .

Ceux que tu contredis sans argument n'apprécient pas non plus .

Le fait que je sois ou non modérateur n'entre pas sur mes dires en ligne de compte sinon j'aurais écrit en bleu .

petrole59 a écrit:

seb14 a écrit:

petrole59 a écrit:

Tu te permets de dire qu'en Normandie on laisse le plateau ouvert . tu es sur que tous les apiculteurs normands laissent leurs plateaux ouverts ?
j 'en connais beaucoup et oui ils laissent ouvert


On peut d'ailleurs s'apercevoir que les abeilles hivernent très bien en ruchette polystyrène qui n'a pas de plancher ouvert et ce quelles que soient les régions .mes miniplus on un plancher ouvert

On dit que les abeilles ne craignent pas le froid , Demande à Sauvapic ce qui se passe quand il n'isole pas ses ruches .sauvipic est dans une region froide ,rien a voir avec le france,et il a une aération par le haut

Je t'ai copié pour te montrer que tu es désobligeant et tu n'argumentes pas tes dires .

je vois que tu n'apprécie pas .

Ceux que tu contredis sans argument n'apprécient pas non plus .

Le fait que je sois ou non modérateur n'entre pas sur mes dires en ligne de compte sinon j'aurais écrit en bleu .

pas envie de me prendre la tete,je pense avoir assez d 'experience pour me permettte de contredire,en en aucun cas besoin  d argumenter mes pensées

je pense savoir de quoi je parle,et c 'est tellement simple d'etre derriere son ecran à écrire!!
en cas de soucis  ,moi j assume et je suis ouvert à la discution,mais pour avancer positivement,je forme des jeunes apiculteurs tous les ans( environ 15) donc pas de lecon a apprendre!
tu as mon tel si tu es si fort on discutera d'apiculture tranquillement!!

seb14 a écrit:
en normandie ,on a pas de soucis d'humidité,donc ca va!

Exactement, juste le fond de l'air qui est mouillé

Sinon ne vous fâchez pas les gens, n'oubliez pas qu'on partage tous la même passion. Et qu'il n'y a pas qu'une apiculture.


J'aurais tendance à penser: quel type d'habitat choisissent préférentiellement nos abeilles dans la nature? Des souches creuses?

Si oui, comment se présente l'isolation d'une souche creuse?

corax a écrit:


J'aurais tendance à penser: quel type d'habitat choisissent préférentiellement nos abeilles dans la nature? Des souches creuses?

Si oui, comment se présente l'isolation d'une souche creuse?

Les grosses épaisseurs de bois ont une conductivité thermique faible.

Les abeilles squattent aussi les cheminées ou l'espace entre volets et fenêtres. Pas sûr qu'il y ait là une bonne isolation, et pourtant... elles y restent.

Tout à fait d'accord avec toi Petrole59.

De plus notre forum est un lieu d'échanges sympathiques où chacun émet son opinion et reçois celle des autres.
Personne n'a la "connaissance absolue" car c'est impossible vu les différences de climat/méthodes personnelles éprouvées.

Personnellement, malgré mes années de pratique, j'apprends/teste de nouvelles méthodes.
Je pense qu'à part la patience, l'humilité est une qualité nécessaire à l'apiculteur

Bonjour, 
Une isolation OK, mais pas avant février, et seulement sur la partie haute de la ruche. 
À l'hivernage directement sur les cadres (pour éviter la circulation d'air) un plastique avec une ouverture à l'avant (2×10 cm face à  l'entrée du nourrisseur.
 Un mini courant d'air se forme entre l'entrée de la ruche et la face avant et arrive dans le nourrisseur puis l'air chargé  d'eau va condenser au niveau du toit en tôle.
Avantages : fini la condensation, rien qu'en enlevant le toit tu devines la force de la colonie. Moins de maladie, plus de résistance. 
Le moindre réchauffement est perçu par les abeilles. 
Avec une ruche isolée les abeilles sortent 30 à  50 pour cent moins longtemps, très facile à constater.
Mes planchers sont grillagés, en février je réduits en mettant les langes.
Fut un temps lors de gelées à  moins 10, jour et nuit durant un mois,  j'ai ouvert une ruche, autour de la grappe que de la glace, un igloo, la colonie est répartie normalement au printemps.

corax a écrit:Difficile à prouver, mais tout ce que je peux dire est que mes abeilles grappent toutes en hiver du côté où il y a un courant d'air, et pas du côté isolé (porte fermée à 80%).

Et j'ai toujours eu un doute sur la maladie noire et la présence d'humidité (j'ai perdu 2 ruches de cette maladie sur un rucher humide, résolu une fois le rucher déplacé sur un endroit sec).

La maladie noire c’est un virus favorisé par le varroa qui le transmet, et qui peut etre contrée si pas trop avancées par un apport en pâte protéinée, q
J’imagine que la maladie a lieu quand le temps est trop humide car les abeilles n’arrivent pas à butiner, et donc à rentrer des protéines. j’ai soigné mes colonies dans le déluge franc comtois en leur donnant de la nourriture protéinée, et autant dire qu’elles étaient bien atteintes…. Je ne les ai pas déplacées.La pluie n’a pas cessée de tomber, mais l’élimination du varroa et la nourriture protéinée ont réglé le probleme

On a eu lors des visites de printemps beaucoup de constat de maladie noire. Idem nourriture et c'est reparti. Le pollen était lessivé, sans réel intérêt nutritionnel probablement. La position des ruches ne me semble pas le plus important.

Yves

Avez-vous essayé les couvertures de survie

Je ne comprends pas.

Sares a écrit:Avez-vous essayé les couvertures de survie

La couverture de survie n'isole pas vraiment. Elle renvoie vers le corps les calories qu'il dégage.

Pour l'isolation de la ruche , je fonctionne comme ça :
à l'automne ... petite info important je suis en Alsace ;-)

- je partitionne ma ruche sur 8 voire 7 cadres parfois 6 quand elle est faible , ce qui me permet également de renouveler 2 voire 3 cadres par année ...
- je pose autour des cadres bâtis ,  des cadres isolants avec un polystyrène haute densité couvert d'un film bulle alu dirigé vers le couvain ... 
- le toit est isolé par dessus le nourrisseur avec un plaque isolante en polystyrène haute densité + un film bulle alu + une plaque de bois. Le toit en métal et une dalle de sol qui va bien plaquer l'ensemble contre la ruche pour éviter les courants d'air ..
- mes planchers sont ouverts jusqu'à mi janvier ensuite je mets une plaque de fond ...

Sur les ruches les plus fortes quand je dois nourrir en hiver je pose le Pain de candi dans le nourrisseur,
sur les plus faibles je pose le pain directement sur les cadres en retournant le nourrisseur et entre le nourrisseur et le pain de candi je mets un film bulle Alu qui va retenir la chaleur ... 

concernant les grilles d'entrées ... je pose les grilles blanches , certaines années je réduisais l'ouverture sur 4-5 ponts mais pas toutes les années ... 

voilà ;-)

Idem pour moi. Yves

Je fais aussi presque la même chose avec un peu moins d'isolation du toit, et presque jamais de tiroir de fond (sauf pour les comptages varroas). Mais j'habite dans une région plus douce (le Gard)

Dans le même genre d’isolant, j’avais scotché de l’isolant de porte de garage (Plastique à bulle avec revêtement réfléchissant) sous les couvre-cadres des ruchettes.
Durant cet été froid les essaims ont apprécié mais lors de la visite pour le traitement en décembre j’ai pu constater un inconvénient.
En dehors de la présence de couvain et donc d’une chaleur suffisante cela fait une parfaite surface pour la condensation  !
Le bois du couvre cadre est isolé de la chaleur de la grappe, il se refroidit et la mousse isolante sur le couvre-cadre ne fait que conserver ce froid.
C’est aussi trop étanche, le dessus des cadres était trempé (Les ruchettes n’étaient pas inclinées)
Le pire c’est un couvre cadre à l’envers dont l’isolant était sur le dessus, c’est trop étanche, le contreplaqué était gorgé d’eau.
Bref à éviter l’hiver.
Scotché sous la tôle du toit c’est pas mal l’été en cas de grosse chaleur.

Pour résumer une bonne idée d’isolation peut virer à la catastrophe pour quelques détails mal maîtrisés, comme dans le bâtiment.
Pour l’isolation supérieure d’une ruche, voir du côté des ruches Warré avec grille à propolis et coussin dans un toit ventilé. L’idée est d’utiliser des éléments perspirants et de laisser circuler l’humidité.

Pouvez-vous en dire plus sur l’aération supérieure des ruches du Québec ? elle communique avec le corps, le nourrisseur ou le toit ?

Pour donner suite au sujet que j'avais ouvert, et suite aux inquiétudes sur la possibilité de condensation et donc d'humidité dans les ruches, j'ai été aujourd'hui tester l'humidité à l'intérieur des corps de ruche.
Avec un testeur d'humidité pour bois, j'ai mesuré entre 10 et 15 % d'humidité ( sur le haut des cadres) , donc un niveau acceptable.
Sur les autres corps, non équipés d'isolation en capotage, les taux d'humidité sont les mêmes. Je pense que en respectant le sens de pose de l'isolant en capotage (face ext. et face int.), cela ne pose, pour l'instant, pas de problème d'humidité.
Je ferai une autre campagne de mesure pour fin février pour vous tenir informé....

Allez, maintenant je me concentre sur le piégeage des reines F. A...

>>Avec un testeur d'humidité pour bois, j'ai mesuré entre 10 et 15 % d'humidité<<
à mon avis ça ne dit rien de l'humidité de l'air ambiant, il faudrait une sonde destinée spécifiquement à cela. 15% d'hygrométrie c'est pour moi impossible et j'ai quarante ans de conditionnement d'air derrière moi.